Texte d'une allocution prononcée en 1964 à l'occasion de l'inauguration d'une exposition de sculpture dans laquelle le philosophe précise les relations entre la sculpture et l'espace, l'art et l'espace, l'homme et l'espace. Il décrit le mouvement par lequel l'espace se fait espace, et l'homme aménage l'espace. Le commentaire met en relief le rôle singulier du corps dans la spatialisation.